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mardi, avril 16, 2024
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    Côte d’Ivoire-Le serviteur de Dieu, révérend Raoul Wafo en justice-Ce qui lui est vraiment reproché-Quand le plaignant Paterne Kouassi se perd dans ses explications !

    Les sujets de l’ordre du domaine religieux sont si sensibles. A fortiori lorsqu’un serviteur de Dieu est mêlé à une affaire en justice. La Toile ivoirienne bruisse en ce moment de l’affaire révérend Raoul Wafo, Paterne Kouassi. Paterne Kouassi qui est le plaignant a pris les réseaux sociaux à témoin pour ébruiter une affaire qui est en justice. Ce qui est reproché à Raoul Wafo et qui fait l’objet de la plainte est faux et usage de faux avec imitation de signature. Mais à l’analyse, suite au long direct de Paterne Kouassi via Facebook, il semble se perdre dans ses explications.

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    Paterne Kouassi et révérend Raoul Wafo, une affaire de prêt et de placement d’argent

    Dans sa longue explication à travers une vidéo, que de tergiversations et de divagations, mais l’essentiel de ce que l’on pourrait retenir de l’intervention de Paterne Kouassi, c’est ceci :  »J’ai porté plainte contre le révérend Raoul Wafo en justice pour une affaire qui date de 2006. A cette époque, il n’était pas l’homme de Dieu prospère qu’il est aujourd’hui. La preuve, vu ma prospérité d’alors vu que j’avais une structure de placement d’argent, c’est moi qui finançais ses activités d’évangélisation, ses programmes de prières et autres.

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    Lorsque les choses ont commencé à s’assombrir dans le domaine du placement d’argent, il m’a demandé de m’auto-saisir en faisant comme si je lui prêtais mon argent… ». A la lecture de ces premiers propos, il y’a un grave hiatus. Il y’a action de prêt. Lorsque Paterne Kouassi continue de donner des éclairages sur cette affaire, on s’entend dire ceci :  »Raoul Wafo prétend m’avoir prêté de l’argent, près de 750 millions de Fcfa en 2006. Or à cette époque, il n’avait rien. Et dans le document qu’il brandit, il ne sort que la dernière page où est apposée ma signature… ». A partir de telles explications, on assiste à un imbroglio qui ne dit pas son nom. Toujours est-il que les deux parties qui sont en ce moment devant les tribunaux se retrouveront à nouveau ce mois de Juillet. Et la justice tranchera.

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